"Les diplômes apportent une crédibilité, ça rassure les employeurs.
Même si on ne sait rien faire et qu’on a pas d’expérience,
les diplômes rassurent toujours."
NAÏMA
"Je n’étais pas un vraiment un bon élève au collège,
on m’a donc orienté vers un parcours professionnel en GEA.
Moi j’avais demandé un bac général, mais on tout simplement dit non.
Et je n’ai rien pu faire."
ARTHUR
"Quand je dis en entretien que j’ai seulement un bac pro en gestion,
les recruteurs ont tendance à vite rayer mon nom."
RAJLINE
"J’ai été accepté en BTS mais à condition de signer une alternance.
Alternance que je n’ai jamais trouvée. Sans contrat,
l’école coûtait 6000 € par an. Je n’ai donc pas eu
trop de choix, j’ai été obligé de me réorienter."
SARRA
bac pro sur 100 obtient un niveau supérieur à bac+3 à l'université.
% de chances en plus d’obtenir un emploi quand on ajoute +2 à son bac.
% de l’écart de revenu s’explique par l’obtention d’un diplôme.
Pour la première fois en France, un programme fait face à une réalité nouvelle : le bac pro n’est plus une garantie de réussite dans le secteur tertiaire. +2 répond donc à l’injustice par la co-construction, afin d’imaginer ensemble de nouvelles modalités pédagogiques et une mise en pratique à travers des contrats d’apprentissage.
+2
S’articulent alors des ateliers de recherches pédagogiques, mêlant experts et apprenants dans le but de dessiner les contours d’une pédagogie souple et adaptive. Expérimenté à taille humaine, +2 surveille ses effets grâce à une mesure d’impact sociale pilotée par KiMSO, cabinet pionnier du conseil en impact social. Le fruit de ces recherches est sans cesse optimisé au bénéfice de chaque jeune car nous sommes convaincus qu’à chances égales, l’excellence peut émerger en territoire inattendu.
+2
“Il ne s’agit pas de proposer à des élèves excellents de sortir la tête de l’eau.
Il s’agit de proposer à des élèves sous l’eau de devenir excellents.”Bruno Galy, Directeur PACA Apprentis d’Auteuil.
Un bachelier professionnel sur deux poursuit ses études après le bac pro. Dans la majorité des cas, il s’inscrit en BTS, mais suit un parcours parfois difficile et soumis aux
Depuis 10 ans, l’OCDE, dans son classement issu des données PISA, rapporte une aggravation des inégalités à l’école en France.
Ils ont entre 20 et 35 ans. Indécis sur le métier qu'ils voudraient faire, ils boudent momentanément le monde du travail.